la Coucou de Malines
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la Coucou de Malines
Becs et Plumes, dossier spécial coup de coeur par Peter
La Coucou de Malines
La poule coucou de Malines est sans contredit la volaille de rapport la plus importante en Belgique : elle est à peu près seule productrice des poulets engraissés dits " de Bruxelles ". Après celle-ci vient la poule de Braekel productrice des oeufs et des poulets de grain.

C'est une volaille de chair qui vit le jour vers 1850 dans la région de Malines. (Belgique)

Des poules indigènes au plumage cou-cou étaient croisées avec des poules pattues, venant de l'Asie. Cet mariage donnera des sujets grande taille, charpenté et la chair fine des poules indigènes.
C'est ainsi on arriva d'avoir de tendres et gros poulets , qui avaient les qualités des meilleurs chapons d'antan.

Un quart de siècle plus tard, la Malines envahit le marché bruxellois sous la dénomination "Poulet de Bruxelles". Sa renommée dépassa les frontières de la Belgique.
Au début de son élevage, l'importance et but était de produire un poulet avec plus de chair possible dans peu de temps. Le plumage et sa couleur était sans importance du tout.
Dans les années 1890 les amateurs de la race ont commencés de pratiquer les premiers sélections de cette race en type et en couleur.
Le 15 juin 1898 fut reconnu le premier standard officiel.

Oeufs à couver.- 65 grammes ; coquille de couleur brune.
Poids
Coq : 5 kg ou plus ; poule : 4 kg ou plus.
Description:
Oiseau massif, fort, large, volumineux, de grande taille, au dos long et horizontal ; poitrine bien descendue ; queue courte, portée presque à l'horizontale ; tarses de longueur moyenne et bien écartés.
Grosse volaille productrice de chair blanche très fine. Précoce, elle peut être engraissée vers l'âge de 3 mois pour donner de gros poulets tendres.
Familière, elle peut être tenue sur un parcours restreint .La poule est bonne pondeuse d'automne et d'hiver.

La Maline « tète de dindon » est une sous race des coucou de Malines.
Vers la fin du XIXe siècle, on est parvenu à la suite d'une demande du marché allemand, en croisant la Malines avec des Combattants Brugeois à la rendre plus lourde encore. Le produit de ce croisement fut la Malines à tête de dindon. La tête de cette volaille géante semblait en effet à celle du dindon

une bonne volaille vaut une bonne recette :

La Coucou de Malines
La poule coucou de Malines est sans contredit la volaille de rapport la plus importante en Belgique : elle est à peu près seule productrice des poulets engraissés dits " de Bruxelles ". Après celle-ci vient la poule de Braekel productrice des oeufs et des poulets de grain.

C'est une volaille de chair qui vit le jour vers 1850 dans la région de Malines. (Belgique)

Des poules indigènes au plumage cou-cou étaient croisées avec des poules pattues, venant de l'Asie. Cet mariage donnera des sujets grande taille, charpenté et la chair fine des poules indigènes.
C'est ainsi on arriva d'avoir de tendres et gros poulets , qui avaient les qualités des meilleurs chapons d'antan.

Un quart de siècle plus tard, la Malines envahit le marché bruxellois sous la dénomination "Poulet de Bruxelles". Sa renommée dépassa les frontières de la Belgique.
Au début de son élevage, l'importance et but était de produire un poulet avec plus de chair possible dans peu de temps. Le plumage et sa couleur était sans importance du tout.
Dans les années 1890 les amateurs de la race ont commencés de pratiquer les premiers sélections de cette race en type et en couleur.
Le 15 juin 1898 fut reconnu le premier standard officiel.

Oeufs à couver.- 65 grammes ; coquille de couleur brune.
Poids
Coq : 5 kg ou plus ; poule : 4 kg ou plus.
Description:
Oiseau massif, fort, large, volumineux, de grande taille, au dos long et horizontal ; poitrine bien descendue ; queue courte, portée presque à l'horizontale ; tarses de longueur moyenne et bien écartés.
Grosse volaille productrice de chair blanche très fine. Précoce, elle peut être engraissée vers l'âge de 3 mois pour donner de gros poulets tendres.
Familière, elle peut être tenue sur un parcours restreint .La poule est bonne pondeuse d'automne et d'hiver.

La Maline « tète de dindon » est une sous race des coucou de Malines.
Vers la fin du XIXe siècle, on est parvenu à la suite d'une demande du marché allemand, en croisant la Malines avec des Combattants Brugeois à la rendre plus lourde encore. Le produit de ce croisement fut la Malines à tête de dindon. La tête de cette volaille géante semblait en effet à celle du dindon

une bonne volaille vaut une bonne recette :

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