Berger, un métier vraiment sorcier
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Berger, un métier vraiment sorcier
le saviez vous ?
La commune de Greuville, près de Luneray, est souvent appelée dans la région « le pays des sorciers ». Le petit village de 380 âmes doit sa réputation à la présence, jadis, de bergers. « Les dons de divinations, de puissance surnaturelle et de prophétie sont annexés à la profession de berger (...) en vertu d’une vie solitaire et contemplative », écrit Amélie Bosquet dans son ouvrage La Normandie romanesque et merveilleuse en 1845. Pour soigner leurs bêtes, ils apprennent à connaître les vertus de certaines herbes et plantes. « Pour augmenter leurs moyens de puissance et d’action, et afin de pénétrer le sanctuaire de la science, ils ont recours d’ordinaire à la clef mystérieuse de la magie, aux révélations ténébreuses du grimoire, au protectorat du diable... », assure l’auteur.
C’est aussi à un berger qu’est attribué le salut d’un ouvrier tisserand du canton de Boos. Après avoir refusé de rendre service à un de ses collègues, l’homme a été pris de malaises alarmants. Face à l’impuissance de son médecin et son mal empirant, il a été conduit à l’hôpital dans un état critique. Sollicité par l’entourage de l’ensorcelé, le berger a redonné au malade la force de rentrer chez lui. Le berger a proposé au tisserand de jeter un sort vengeur au collègue maléfique. Devant son refus, il l’a guéri totalement.
(source: paris-normandie.fr)
La commune de Greuville, près de Luneray, est souvent appelée dans la région « le pays des sorciers ». Le petit village de 380 âmes doit sa réputation à la présence, jadis, de bergers. « Les dons de divinations, de puissance surnaturelle et de prophétie sont annexés à la profession de berger (...) en vertu d’une vie solitaire et contemplative », écrit Amélie Bosquet dans son ouvrage La Normandie romanesque et merveilleuse en 1845. Pour soigner leurs bêtes, ils apprennent à connaître les vertus de certaines herbes et plantes. « Pour augmenter leurs moyens de puissance et d’action, et afin de pénétrer le sanctuaire de la science, ils ont recours d’ordinaire à la clef mystérieuse de la magie, aux révélations ténébreuses du grimoire, au protectorat du diable... », assure l’auteur.
C’est aussi à un berger qu’est attribué le salut d’un ouvrier tisserand du canton de Boos. Après avoir refusé de rendre service à un de ses collègues, l’homme a été pris de malaises alarmants. Face à l’impuissance de son médecin et son mal empirant, il a été conduit à l’hôpital dans un état critique. Sollicité par l’entourage de l’ensorcelé, le berger a redonné au malade la force de rentrer chez lui. Le berger a proposé au tisserand de jeter un sort vengeur au collègue maléfique. Devant son refus, il l’a guéri totalement.
(source: paris-normandie.fr)
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